La troupe se rendra au théâtre de La Colline, mercredi 28 mars à 20 h 30. Au programme, la pièce "Se trouver" de Luigi Pirandello, avec Emmanuelle Béart, à la mise en scène : Stanislas Nordey. Il s'agit du portrait d'une actrice qui perd ses repères dans l'existence et sa personnalité. Pour tenter de se trouver ou de se retrouver, elle fuit son métier et s'aventure dans une relation sentimentale.
Tres beau spectacle d'une mise en scéne irreprochable avec des costumes magnifiques.
RépondreSupprimerPièce très intéressante avec des dialogues profonds qui incitent en permanence à la réflexion. Le propos est bien amené et Emmanuelle Béart se montre excellente. Les décors et les costumes sont superbes et nous plongent dans une autre époque, que je situerais entre 1950 et 1970, et un autre milieu. Un très bon moment.
RépondreSupprimerBelle pièce, acteurs parfaits, Emmanuelle Béart magnifique, décors éblouissants. La profondeur des dialogues peut parfois donner le vertige et la mise en scène parfois un peu "froide" avec des jeux d'acteurs réduits mais l'ensemble donne une pièce très agréable.
RépondreSupprimerLe vert n'a rien enlevé à la superbe prestation d'Emmanuelle Béart. Une mise en scène parfois déroutante avec des comédiens qui se trouvent en ligne face public pour nous livrer leurs textes. J'ai regretté le manque d'échange de regard entre les comédiens. Le texte est difficile mais ne m'a pas laissé indifférente car qui ne s'est jamais posé la question : qui suis-je? Les changements de décors à vue étaient bien orchestrés. C'est toujours plaisant de voir cette belle mécanique en action. J'ai passé une bonne soirée!
RépondreSupprimerLa première scène est un peu déroutante effectivement et j'ai eu quelque difficulté à rentrer dans la pièce. Cela n'enlève rien aux prestations des comédiens, et plus particulièrement celle d'Emmanuelle Béart que je trouvé très juste. Bien que le sujet traité soit intéressant, j'ai trouvé la pièce trop longue.
RépondreSupprimerSpectacle magnifique avec des actors dans des costumes d'une grande beauté.
RépondreSupprimerNous sommes des profs universitaires: bravo Nordey!